Swami Sri Ramatis

Sa dernière vie

Cet Esprit a vécu au 11ème siècle en Indochine. Il est né des amours d’un tapissier hindou et d’une jeune femme chinoise qui quitta son foyer pour l’épouser. Enfant, Ramatis était vif et brillant. Jeune homme, il fonde un temple où il développe des connaissances sur le magnétisme, l’astrologie, la clairvoyance, la psychométrie et la radiesthésie. Il initie ainsi soixante-douze disciples et leurs transmet ses connaissances acquises au cours d’innombrables vies antérieures.

Sa personnalité

Pour les médiums clairvoyants, Ramatís se fait voir, habillé comme un maître indochinois avec une cape de soie blanche, une tunique verte et un turban qui lui couvre le haut de la tête.
Cet Esprit se réclame comme universaliste et sympathique pour tous les courants philosophiques et religieux. Il se communique de préférence auprès de médiums dont l’orientation spirituelle est la théosophie, rosicrucienne ou franc-maçon.
Ramatis est un Esprit rigide et peu conciliant sur les défauts de son prochain et en l’avenir de l’évolution humaine.
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Ses autres vies

Il dit avoir vécu en Egypte, autour de -1300 ans avant J-C, dans le temple du pharaon Mineptah où il est un fils de Ramsès, puis sur l’île de l’Atlantide, où il s’intéresse aux mathématiques et aux sciences.
Il revient en Grèce, – 340 ans avant J-C, à l’époque de Socrate, Platon, Diogène. Il prêche l’immortalité de l’âme et la purification au travers des successives réincarnations. Ses enseignements se concentrent autour de la conscience du devoir, de l’analyse personnelle par la culture de la musique, des mathématiques et de l’astronomie.
Au 4ème siècle où il se réincarne, il se distingue dans un petit temple initiatique sur les terres sacrées de l’Inde. Il est alors adepte des enseignements du règne d’Osiris, le Seigneur de la Lumière.

Sur le plan astral

Dans l’espace, il s’affilie à un groupe de travailleurs spirituels, dont l’insigne est connu sous la pittoresque dénomination de « Templiers des chaînes de l’amour ». Il s’agit d’un groupement dans les colonies de l’au-delà, qui se dédient aux travaux de la psychologie orientale. Ils sont de divers courants religieux et spiritualistes de l’Egypte, de l’Inde, de la Grèce, de la Chine et de l’Arabie.
Au milieu des années 50, il coopère aux travaux de la colonie « Fraternité de la Croix et du Triangle ». Il s’intéresse à la phénoménologie médiumnique comme la lévitation, le don ubiquité, la voyance et la psychographie de messages.
Ces membres de cette colonie sont vêtus de vestes blanches, avec des ceintures et des emblèmes de couleur bleu clair émeraude. Sur la poitrine, ils portent un fin collier avec un triangle de couleur lilas qui représente le mystique oriental, à l’intérieur, il y a la figure de la croix.

Les livres psychographiés

Ramatis a dicté à divers médiums un certain nombre d’ouvrages de 1955 à 2017, voici une vue d’ensemble :
Hercilio Maes a reçu 15 ouvrages de 1955 à 1999, América Paoliello a eu 6 livres de 1962 à 2006, Maria Margarida Liguori 7 livres de 1990 à 2001, Beatriz Bergamo 1 livre en 1996, Marcio Godinho 4 livres de 2000 à 2007, Mariléa de Castro 1 livre psychographié en 2005, Noberto Peixoto 12 livres de 2001 à 2012, Wagner Borges 1 livres en 1993, Dalton 2 livres en 2004 et 2013 et enfin Savio Mendonça 3 livres de 2015 à 2017.

A propos de l’enseignement donné

Le contenu de ses ouvrages est dense et souvent difficile à comprendre. Il parle d’une manière détaillée et insistante. Il montre peu de bienveillance envers les autres et pointe sans difficulté la multitude de défauts que nous avons sur terre. Il soutient avec force le végétarisme.
La fédération spirite brésilienne n’approuve pas le contenu de son message et le journaliste spirite Herculano Pires qualifie même Ramatis d’Esprit mystificateur et de faux prophète de l’erraticité. Il est certain que son message dans les années 70 devait être radical et qu’à l’heure du 21ème siècle, il devient plus modéré. Pour Divaldo Franco, la lecture de ces ouvrages n’est pas déconseillée, elle apporte un point de vue intéressant.

Livres d’Hercilio Maes